Jadis Ouled Sidi-Idir
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Jadis Ouled Sidi-Idir
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Ath (en kabyle) Ouled (en arabe qui veut dire : enfants ou descendants) Sidi-Idir qui signifie : Monsieur ou Maître à vivre ou encore vivant attribué aux habitants de ce village par les ancêtres berbéres, certainement d'origine kabyle.
Néanmoins ceci n'explique pas tout dans la mesure où les êtres humains sont mouvants, c'est-à-dire pouvant se déplacer d'un point à un autre, contrairement aux noms géographiques restant immobiles à leurs lieux et places. Dans la composante sociale propre à chaque groupe d'individus, il y a lieu de rajouter les naissances, les mariages et les décès dont les traces ne peuvent se retrouver qu'au niveau de la tenue des registres de l'état-civil.
Avec les évolutions des évènements conjoncturels et leurs contextes, l'on déduira que chaque période de l'histoire secrète ses privilégiés dans la conduite des affaires au sens le plus large du terme.
Les choses qui unissent donc les villages restent plus importantes que celles qui peuvent un jour ou l'autre les diviser à la lumière de ce que racontent les anciens vocablement.
L'identification des noms de ces villages se ressemblent à celui des noms de rues d'une grande agglomération. L'on entend parler de douar El-Maïn qui signifie cercle communautaire redevenue commune en plein exercice juste au moment de la création des nouveaux départements en 1957 parallélement à la subdivision administrative du térritoire décidée lors des assises de la Soummam par le FLN/ALN qui intégrent cette région dans la WIII - Z1 - R5 - S3. Donc, c'est une nouvelle création moderniste de style révolutionnaire qui vient encore de se créér. A partir de ces recoupements, l'on pourra déduire que chaque conquête amène dans son sillage des modifications que corrigent ou non les révoltes succéssives. Tout reste donc à vérifier, mais difficilement.
Le lieu dit : " Ighzar N'Tlam " (ravin de l'obscurité ou des ténébres) se trouve normalement au dessus d'Imardjiène, mais non pas à Adrar Oumaza dénommé1029 d'après la carte Michelin. Par contre, le trou de l'ogrésse s'y trouve dans cette forêt d'Adrar Oumaza où il arrive aux Moudjahidines de se réfugier ou de se cacher là, à l'abri des avions observateurs ou bombardiers de l'armée française à la recherche du moindre indice.
La forêt d'Adrar Oumaza domine le village d'Ouled Sidi Idir en diréction de laquelle le soldat faisant son tour de garde regarde. Mais les moudjahidines agissent aussi sur renseignements que leur fournissaient leurs agents de liaisons de la situation conflictuelle avec laquelle ils ont souvent affaire. Lorsque les soldats regardent vers le haut, les djounouds rentrent au village par le bas. Et quand les soldats français s'occupent du pied du village tout prés de la rivière, les katibas leur rentrent par le côté supérieur du village. Si non, ce sont des harcélements ou des attaques du poste. Ah si le Capitaine Séddik Oumahfi était encore vivant au moment de l'installation de ce poste quél sort lui réservera-t-il, lui qui avait l'habitude et donc l'expérience du harcélement des postes militaires implantés ça et là dans la région ?
Cette région constitue la communauté des Ath Yaâdhél regroupant les douars du Sud qu'étaient : Colla, Téffreg, Djaâfra et El-Maïn, selon certaines sources françaises héritées du découpage admistratif turc dont ils sont issus les bureaux arabes indigénes ayant un siége à El-Maïn. Mais les gens venus s'installer là, étaient d'origines diverses. Seul le sol reste fidéle à ses origines depuis des siécles durant.
Ath (en kabyle) Ouled (en arabe qui veut dire : enfants ou descendants) Sidi-Idir qui signifie : Monsieur ou Maître à vivre ou encore vivant attribué aux habitants de ce village par les ancêtres berbéres, certainement d'origine kabyle.
Néanmoins ceci n'explique pas tout dans la mesure où les êtres humains sont mouvants, c'est-à-dire pouvant se déplacer d'un point à un autre, contrairement aux noms géographiques restant immobiles à leurs lieux et places. Dans la composante sociale propre à chaque groupe d'individus, il y a lieu de rajouter les naissances, les mariages et les décès dont les traces ne peuvent se retrouver qu'au niveau de la tenue des registres de l'état-civil.
Avec les évolutions des évènements conjoncturels et leurs contextes, l'on déduira que chaque période de l'histoire secrète ses privilégiés dans la conduite des affaires au sens le plus large du terme.
Les choses qui unissent donc les villages restent plus importantes que celles qui peuvent un jour ou l'autre les diviser à la lumière de ce que racontent les anciens vocablement.
L'identification des noms de ces villages se ressemblent à celui des noms de rues d'une grande agglomération. L'on entend parler de douar El-Maïn qui signifie cercle communautaire redevenue commune en plein exercice juste au moment de la création des nouveaux départements en 1957 parallélement à la subdivision administrative du térritoire décidée lors des assises de la Soummam par le FLN/ALN qui intégrent cette région dans la WIII - Z1 - R5 - S3. Donc, c'est une nouvelle création moderniste de style révolutionnaire qui vient encore de se créér. A partir de ces recoupements, l'on pourra déduire que chaque conquête amène dans son sillage des modifications que corrigent ou non les révoltes succéssives. Tout reste donc à vérifier, mais difficilement.
Le lieu dit : " Ighzar N'Tlam " (ravin de l'obscurité ou des ténébres) se trouve normalement au dessus d'Imardjiène, mais non pas à Adrar Oumaza dénommé1029 d'après la carte Michelin. Par contre, le trou de l'ogrésse s'y trouve dans cette forêt d'Adrar Oumaza où il arrive aux Moudjahidines de se réfugier ou de se cacher là, à l'abri des avions observateurs ou bombardiers de l'armée française à la recherche du moindre indice.
La forêt d'Adrar Oumaza domine le village d'Ouled Sidi Idir en diréction de laquelle le soldat faisant son tour de garde regarde. Mais les moudjahidines agissent aussi sur renseignements que leur fournissaient leurs agents de liaisons de la situation conflictuelle avec laquelle ils ont souvent affaire. Lorsque les soldats regardent vers le haut, les djounouds rentrent au village par le bas. Et quand les soldats français s'occupent du pied du village tout prés de la rivière, les katibas leur rentrent par le côté supérieur du village. Si non, ce sont des harcélements ou des attaques du poste. Ah si le Capitaine Séddik Oumahfi était encore vivant au moment de l'installation de ce poste quél sort lui réservera-t-il, lui qui avait l'habitude et donc l'expérience du harcélement des postes militaires implantés ça et là dans la région ?
Cette région constitue la communauté des Ath Yaâdhél regroupant les douars du Sud qu'étaient : Colla, Téffreg, Djaâfra et El-Maïn, selon certaines sources françaises héritées du découpage admistratif turc dont ils sont issus les bureaux arabes indigénes ayant un siége à El-Maïn. Mais les gens venus s'installer là, étaient d'origines diverses. Seul le sol reste fidéle à ses origines depuis des siécles durant.
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